Once Upon a Time

Ned Di GiacomoInfos généralesHistoireSujets de RP Nom : Théodore "Ned" Bruno Andrea Di Giacomo
Âge : 32 ans (19.04.1985)
Métier/occupation : Professeur de Danse à l'académie Disney & Danseur
Nationalité : Franco-Italien
Orientation sexuelle : Bisexuel
Situation : Célibataire, désespéré
Famille : Fils unique
Groupe : Managers Un, deux, trois... Un, deux, trois... Un, deux, trois... Et je recommence, encore et encore, je me cale sur ce rythme dont la mélodie résonne dans ma tête, dans ce studio vide. Je virevolte, je cale mes pas sur le tempo, je laisse libre cours à mon imagination, à mon humeur; je n'entends que ce rythme. Ce rythme que je connais depuis ma plus tendre enfance.

Mes parents sont artistes : ma mère est danseuse, mon père musicien. C'est alors qu'ils avaient obtenu une place dans une compagnie valenciennoise que je sui venue au monde. J'ai toujours grandi dans cet univers du spectacle, j'accompagnais mes parents en coulisses et les regardais de ce point-ci alors que je savais à peine parler ; d'après mes parents j'ai dansé avant de marcher. Ma vie semblait déjà toute tracée.

Durant mon enfance, nous avons beaucoup déménagé, un peu en Italie, le pays de mon père, mais surtout en France, j'ai baigné dans les deux cultures d'aussi loin que je m'en souvienne. Malheureusement, ces déménagements fréquents à un âge si jeune n'ont pas aidé pour se faire des amis, alors je me réfugiais dans la danse, mon premier amour. Je jouais un peu de piano et de batterie avec mon père, mais il n'y avait qu'en dansant que j'arrivais à trouver un équilibre et un bien-être intérieur pendant un moment, avant que la solitude ne vienne me retrouver, comme une vieille amie, une amie de longue date qui ne m'a jamais vraiment quittée, bien que sous des formes différentes au cours des années. La solitude d'un enfant trimballé de gauche à droite, celle d'un adolescent complexé qui découvre un nouveau pays à la langue qu'il n'a appris qu'à l'école, celle d'un jeune artiste qui noie son chagrin d'un amour perdu dans l'alcool. La solitude encore, d'un malade, d'un patient qui cherche à en finir avec son addiction, celle d'un artiste qui n'a pas travaillé depuis près d'un an. La solitude, enfin, d'un homme se désespère de trouver un jour chaussure à son pied tout en restant un éternel romantique.

A mes 14 ans, mes parents ont décidés de déménager aux Etats-Unis, à Chicago, où ils ont fondés leur compagnie et donnent des cours. Nouveau changement d'environnement pour moi, encore, et non des moindres : un pays qui m'est totalement inconnu, une ville immense à l'architecture loin des villes françaises de province et de Turin où nous avions habité pendant deux ans. Un pays où l'on parle anglais, langue que je n'ai apprise qu'à l'école à un niveau bien rudimentaire pour être parfaitement capable de me fondre dans le moule dans ma nouvelle école. J'ai du prendre des cours particuliers et intensifs avant et après notre départ, ce qui m'empêchait de faire autant de danse que j'aurais souhaité. Je n'en voulais pas à mes parents, je ne leur en ai jamais voulu, j'aime cette vie de voyage, de bohème, mais il n'était pas toujours facile de devoir passer des heures par semaine à avoir des cours en plus, quand tout ce dont je rêvais c'était de barres, de plancher, de vitre, de chorégraphie et de musique. Heureusement, en parlant déjà français et italien et en apprenant l'anglais et l'espagnol à l'école, j'avais des facilités avec les langues et put rapidement retrouver mon emploi du temps habituel où la danse occupait la majeur partie de mon temps.

En étant enfin posé à Chicago, j'ai enfin pu me faire des amis et c'est l'année suivante, une fois ma timidité vaincue et enfin avec des amis que j'ai découvert la comédie musicale. La production du l'école manquait de danseur et on m'a proposé. Je suis tombé amoureux de cet art. Envolé les rêves de danseurs ambulants, la gloire d'un danseur étoile; je ne pensais plus qu'à la comédie musicale. Au lycée j'ai intégré la troupe, me retrouvant souvent avec les rôles qui dansaient le plus mais cet art me fascinait tellement que je m'en contrefichais.

Ensuite, l'histoire classique : des études dans une école prestigieuse grâce à une bourse, l'apprentissage de deux nouvelles compétences : le chant et la comédie, cet esprit de famille d'une troupe, des flirts, des amourettes, garçons comme filles, des joies, des peines, de la fatigue, des nuits blanches : la vie d'étudiant, en somme.

Viens alors la vie d'un jeune artiste sans le sou qui enchaîne les auditions et les petits boulots à côté. Viens le succès, du travail plus fréquent et une histoire d'amour qui couronne cette vague positive. Mais tout s'arrête. Trahi, trompé, jeté, laissé. Ne me reste que le travail et l'alcool pour surmonter cette histoire. Mais l'alcool ne surmonte rien, ça te ronge, ça t'embrume, t'as pas les idées claires, jusqu'à ce que ce soit l'alcool que tu doives surmonter et plus ton histoire. Et tout s'arrête brutalement, plus de lumière, plus de paillettes, le piano s'est désaccordé. Alors tu reprends tout depuis le début, t'as honte d'abord, t'es seul, tu te trouves horrible et c'est un travail sur toi-même qui commence, c'est long, ça sera peut-être jamais complètement terminé, ça l'est toujours pas en tout cas. Cette anxiété, cette auto-dépréciation, tu dois toujours faire des efforts pour les oublier, les mettre en sourdine.

Malgré tout, tu ré-accorde le piano, tu vois les choses sous un nouveau jour, sous un nouvel angle, tu te replonge dans les auditions, tu dois te prouver deux fois plus après ce qu'il s'est passé, surtout pour toi, pour ton amour propre. Ca repart, tu poursuis ta route avant de prendre un nouveau tournant et de trouver un rythme, un nouvel un, deux, trois...

Un, deux trois... Un, deux, trois... Un, deux, trois... Je m'arrête enfin et respire un bon coup au milieu de ce studio vide, la nuit noire au dehors, la lune comme seule témoin que j'aperçois d'une des fenêtres. Un nouveau jour se lève demain et qui sait ce qu'il réservera. Des joies, je l'espère, des peines, c'est inévitable, de la vie surtout et avant tout.

Le Bal de Noël ft. Les invités© 2981 12289 0

Les filles@Blair JeffersonLa Belle aux livresOn s'est peut-être croisé à l'académie mais je ne t'ai jamais eu dans mon coeur en tout cas. Et puis te voilà Belle pour ma Bête que je joue parfois. Notre amour des livres et notre gourmandise nous a rapproché, et le rapport entre nos deux personnages. Nous nous échangeons des livres, en discutons, en débattons parfois. Le courant passe bien entre nous et c'est toujours plaisant de travailler avec des personnes comme toi. Mais au-delà, je crois que c'est nos regards qui se comprennent le mieux, nos regards qui portent en nous la vérité de notre solitude, de notre mal-être que l'on cache. Peut-être est-ce ça qui nous a rapprochés, d'âme esseulée à âme esseulée.@Opra Van AuerAmie, mission sobriétéPlus qu'une collègue, une amie. Une première rencontre lors de la réunion de pré-rentrée entre professeurs et au fil du temps, des évènements, des repas, des matins ou soirs passés dans la salle des profs, nous avons forgés ce lien qui est le nôtre. Depuis quelques temps cependant, j'ai l'impression que quelque chose ne va pas et mes souvenirs sont encore douloureux pour que je reconnaisse ta consommation d'alcool. Je n'aime pas voir mes amis souffrir et encore moins les voir sombrer dans le démon qui a été le mien. Je vais tout faire pour t'aider à te sortir de là.@Katlyn ForbesCollègueCollègue du département maquillage. Nous nous sommes déjà croisé en backstage mais j'en connais pas sur toi à vrai dire. Tu me semble, cependant, charmante et compétente au demeurant et j'aimerais en savoir plus sur toi, te connaître mieux que les simples salutations d'usage que nous échangeons le plus souvent.@Nom du personnageintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.@Nom du personnageintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.@Nom du personnageintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.
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Les mecs@Toma KanoElève et membre du groupeSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.@Sacha WilliamsLe coup d'un soir devenu bon amiSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.@Marc Carterintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.@Nom du personnageintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.@Nom du personnageintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.@Nom du personnageintitulé du lienSi vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.© 2981 12289 0

Heyyy ça te dirait un petit lien entre collègues ? :trecontent:

Avec grand plaisir ! Je vois qu'ils ont des traits de caractères en commun comme l'avenance, le côté protecteur. Je vois aussi que ton personnage boit beaucoup en ce moment: si on part sur quelque chose de plus poussé que collègues, Ned a été alcoolique et est sobre depuis 7 ans donc il pourrait avoir ce côté protecteur pour essayer d'aider Opra à ne pas sombrer aussi bas que lui ?

Oui pourquoi pas, c'est une idée qui me plaît plutôt bien et qui pourrait être intéressante à jouer ! :kontent:

Oprah boit beaucoup ces temps-ci, et parfois elle débarque même au boulot avec une méchante gueule de bois donc on pourrait peut-être tourner le lien autour de ça. :rougi:

Du coup, dans l'idée, Ned est à la DA depuis environ 2 ans, c'est sa 3e année ici donc je ne sais pas depuis combien de temps Opra enseigne mais du coup elle et Ned aurait pu se rencontrer à une réception/réunion de pré-rentrée pour les profs/managers, faire connaissance et au fil du temps passer du temps ensemble de temps en temps jusqu'à devenir amis et là avec Opra qui boit beaucoupces temps-ci tout le côté protecteur de Ned qui ressort avec ses souvenirs de l'alcoolisme qui sont pas forcément plaisant et qu'il ne veut pas voir arriver à Opra. On part là-dessus ?

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